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LA LÉGENDE DES ARBRES

Tonalité :
  • A
  • B♭
  • B
  • C
  • D♭
  • D
  • E♭
  • E
  • F
  • G♭
  • G
  • A♭
  • A
Un j  our, le roi des arbres ré  unit   ses su  jets
Dans so  n palais de marbre, au co  eur de la fo  rêt.
Le ch  êne à Brocélia  nde, le   cèdre du L  iban   
    Et le vieux pin des Landes conçurent un v  aste pl  an.
Le ve  nt porta l'aff  aire à tr  avers les f  orêts.
Les a  rbres de la Terre ont   déclaré la p  aix.
  Vivre était leur d  ésir, p  orter chacun leurs   frui  ts
    C'était "vaincre ou mûrir", leur devise   et leur   cri.
 
 
Leurs fleu  rs, en grand mystère, imp  ercep  tiblem  ent
S'ouvra  ient vers la lumière en p  renant tout leur te  mps
Et d  u coeur des charp  entes, des   coques des bat  eaux
Aux li  nteaux des soup  entes et aux tr  averses du m  étro
Du p  apier dans les   livres et   du corps des cra  yons
Le bo  is semblait revivre et   devenait cha  nson.
  Libres de leurs am  arres, les   mâts qui navigu  aient  
    Répondaient aux guitares et les arbr  es chantai  ent.
 
 
Instrumental :           
 
 
  Jamais de mémoire d'  homme, on   n'entendit ce   chant
Mais da  ns le coeur des ormes, il résonn  ait comme un printe  mps.
  Cyprès de Pales  tine et   l'arbre de   Judée  
    Ont mêlé leurs racines autour de l'  olivi  er.
Les a  rbres de la T  erre se   sont tendu les m  ains
Par-d  elà les frontières au-d  essus des huma  ins.
Et l  a rose des ve  nts, éc  hangeant les pol  lens   
    A mis du pommier blanc sur les fleurs   de l'éb  ène.
 
 
Instrumental :                    
 
 
Et l  a rose des ve  nts, éc  hangeant les pol  lens   
    A mis du pommier blanc sur les fleurs   de l'éb  ène.
 
 
  Cette légende anc  ienne, on   l'entend dans les   bois
Le ve  nt dans les vieux chênes la ch  ante encore parf  ois.
Celu  i de Brocélian  de et le   cèdre au   Liban  
    Mais le vieux pin des Landes a brûlé e  ntre-te  mps.
Les sa  ules ont tant ver  sé de   larmes de r  osée
Tant po  rté dans leurs feuilles les de  uils du temps pa  ssé.
Si n  ous n'entendions p  lus ce   que le vent nous   crie   
    Les hommes auraient perdu la source   de leur   vie
Et l  e parfum des fleu  rs, la   pulpe de leurs fr  uits
Déve  rseraient en va  in au   fond des coeurs meur  tris
Des to  rrents de douc  eur et   des flots d'harmo  nie.
 
 
Finale :           
 

Contribution

Superfrog, version 1.0

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Version : 1.0
Dernière modification : 2011-07-04
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