Intro :
Cette année-là,
Dans quel été j'é tais,
Dans quel é tat ?
Un slow pas sait,
Un titre an glais.
Ce qu'il di sait,
Nous ne le comprenions pas.
C'était une voix sur un piano,
Un bord de caisse pour le tem po,
Une chanson tendre
Qu'on aime en tendre,
Qui sait,
Cent fois par jour.
Naturelle ment, chanson d'a mour,
Chanson qui rime, évidemment,
Et qui ne dit rien d'impor tant.
C'est pas du Brahms
Qu'Humphrey Bo gart,
Pris de ca fard,
Réclame à Sam.
C'est une chan son sans impor tance
Qui n'a un sens
Que tard le soir.
C'est pas du Brahms
Qu'on a dan sé
La première fois
Qu'on s'est trou vés.
C'est une his toire
Vieille comme le monde
Comme elle se ferait teindre en blonde
Et qu'on n'a jamais oubli ée.
(Woua p dou wou ap...)
C'est pas du Brahms
Qu'on a vou lu,
La première nuit
Qu'on s'est con nus.
C'est une chan son très infé rieure
De celles qui mar quent en profon deur,
De celles qu'on n'oublie ja mais plus.
(Woua p dou wou ap...) (x3)
C'est pas du Brahms
Qu'Humphrey Bo gart,
Pris de ca fard,
Réclame à Sam.
C'est une chan son sans impor tance
Qui n'a un sens
Que tard le soir.
C'est pas du Brahms
Qu'on a chan té
La nuit où tu n'es pas ren trée.
C'est une his toire
Vieille comme le monde
Qui nous suit jusqu'au bout du monde,
Une chanson tendre
Qu'on aime en tendre,
Qui sait,
Cent fois par jour.
Naturelle ment, chanson d'a mour,
Woua p dou wouap
Woua p dou woua p
(Instrumental) : (Ad lib ... )